PLAN DE L'INCIPIT
1) le caractère de Georges Du Roy :
a) Sa
royauté:
- "...frisa sa moustache d'un
geste militaire et familier"... (
Page 7, ligne 4 du livre : Bel-Ami )
- " ...Il avançait brutalement,
heurtant les épaules dans la rue pleine de monde... " (Page 8, ligne 27du livre: Bel-Ami)
b) Sa
fierté:
- "...élégance tapageuse..." (Page 8, ligne 35 du livre :Bel-Ami)
c) Un homme
attractive:
*les regards des femmes:
-"...les
femmes avaient levé la tête vers lui..." (Page 7, Ligne 8: Bel-Ami)
*Description
physique:
-"...des
yeux bleus, clairs,…" (Page 8, Ligne 38: Ligne 38 : Bel-Ami )
2)Image de la société;
a) la nature:
-"...l'air manque dans Paris..." (Page 8, Ligne 43 : Bel-Ami
b) le peuple :
-"...fumaient la pipe sous les
portes cohéres et les passants allaient d'un pas accablé..." (Page 8,
ligne 49 : Bel-Ami )
-
"...coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux..." (Page 7, Ligne 10 : Bel-Ami)
c) la situation financière :
-"...Cela
représentait deux dîners sans déjeuners, ou deux déjeuner sans dîners …" (Page 7, Ligne 16 : Bel-Ami )
d) les
tenues vestimentaires:
*Georges Du
Roy:
-" ...il portait l'uniforme des
hussards …" (Page 8, Ligne 25 : Bel-Ami )
*Classe
sociale des ouvriers :
-"...une maitresse de musique
entre deux âges , mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours
poussiéreux.." (Page 7, Ligne
10 : Bel-Ami)
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Réflexion sur le film
De
point de vue personnel, cette adaptation du roman de l'auteur Bel-Ami
n'est qu'une présentation réelle de la société. J’apprécie tellement Albert
Lewin d'avoir écrire ce scenario d'après l'œuvre de Guy de Maupassant. Cette
dernière présente la vraie personnalité d'un homme qui arrive du paysan à la
ville; pensant à rien que de faire une fortune en négligeant tout ce qui est
autour de lui. Ce film nous permet aussi de voir leur caractère égoïste : qui veut
traverser à l'autre bord qu'est la richesse sans même attendre le bateau qui
les transmettra de la pauvreté. Donc ils risquent de faire tout ce qui est
impossible, incroyable, et extravagant
pour y arriver; et c'était le cas de Georges Duroy qu'abusait de son
charme, beauté et intelligence pour tromper les femmes les plus belles, les plus
puissantes (la femme du directeur du "journal Français"), et quelques
fois les plus moches. Ces dernières étaient le bateau qui lui a permis
d'arriver au deuxième bord qui se définissait pour lui par : le pouvoir, l’argent et la royauté.
Mais malgré son arrivée en passant par plusieurs femmes, ni son ambition du
pouvoir ni son excitation sexuelle se calmait; il demandait toujours
d'avantage. On ne peut pas généraliser ce cas, mais c'est lui le plus courant.
Mais avant d'extrapoler : Est-ce que Georges Duroy est arrive avec se caractère
des paysans et la société lui a permit d'amplifier ce caractère? Ou Georges
Duroy est-il le produit d'une société narcissique où les intérêts personnels sont au dessus des
intérêts de l'ensemble de la communauté?
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Réflexion sur le film
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Etude
de personnage
« Bel
ami »
*George Duroy :
Le
personnage principal : présentait comme un officier dans le chemin de fer,
faisant part de l’énorme foule de la ville. « Grand, bien fait, d’un blond châtain
vaguement roussi, avec une moustache retroussée, qui semblait mousser sur sa
lèvre, des yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite, des cheveux
frises naturellement, séparés par une raie au milieu du crane »[1]
qui est venu à Paris avec le désir de faire une fortune et d’accéder au
pouvoir après étant dégouté par l’armée. Un héro malin et envahisseur près à
tout faire pour réussir.
Au début du
livre Duroy était présenté comme un sous officier sans sou et autant que ses relations,
spécialement les féminines, se développaient de Mme forestier, à Mme Walter[2], à
Clotilde de Marelle sa maîtresse, et à Suzanne la fille du directeur de la
vie française. , il se développait également d’un sous-officier, à un
reporter, à un chef d’écho, et enfin un chef de la rédaction politique à la vie
française. Par son charme et son attrait il a réussi de tromper toutes ces
femmes. Parmi ces dernières nous trouvons : les jeunes, les vieilles, les
puissantes, et quand la situation demande c’est parfois les plus moches. Par les cœurs de ces femmes, le journalisme
et en suivant le conseil de Forestier« c’est encore pas elles qu’on
arrive le plus vite »[3]
l’héro a pu achever ses objectives
et ces aspirations à la fin. Ces dernières qui étaient nettes dés le début du
roman, ont montrés son caractère dédaigneux. Sa moquerie de Charles
Forestier (qui était son premier aide,
et qui l’a aidé d’entrer dans le domaine
du journalisme « ce cocu
de forestier.. » et
sa déloyauté aux femmes qu’il a connu, sont des évidences et des
attestations suffisantes pour prouver son
manque d’éthique.
Nonobstant sa position et malgré le fait qu’il est
maintenant au dessus de la foule mariant la plus grande fortune de la
ville, ni son désir au pouvoir ni son
excitation sensuelle se calmait. Il cherchait toujours la prépondérance et la
monarchie.
‘Bel ami’ : un surnom donnait à Georges par
Laurine (la fille de Mme de Marelle). Ce surnom apparaît la première
fois à la page 90, et à ce moment la relation amoureuse entre Duroy et Mme de
Marelle amorçait. Donc le fait que cette fille qui se comportait comme une
adolescente « Elle se leva gravement,
salua avec cérémonie, ainsi qu'aurait fait une grande personne »lui donne se surnom à ce moment
du récit prouve qu’elle doutait de la relation entre les deux. C’était une
manière intelligente de la part de la fille pour extérioriser qu’elle
comprenait ce qui se déroulait.
*Charles
Forestier:
Charles
forestier est un ancien ami d’armée de Georges Duroy. il est suffisamment nette
que Forestier a parcouru un long chemin afin d’arriver à sa position
actuelle et qu’il a vécu cette période
de souffrance pareillement que Duroy « Il avait maintenant une allure,
un costume d’homme posé et un ventre d’homme qui dîne bien» « En 3 ans,
Paris en avait fait quelqu’un de tout autre, de gros et de sérieux avec
quelques cheveux blancs sur les tempes bien qu’il n’eût que 27 ans ».Un
homme si sûrs, si absolus, s’exprimant sous forme des proverbes « il
vaudrait mieux ne pas avoir de lit que d’habit »
Charles est
un rédacteur à la vie française
auprès de M. Walter le directeur. Tout son aboutissement et son ajournement
vient de sa femme Madeleine Forestier qui l’aidait dans la rédaction de
tout ces articles. Sans cette femme il n’aurait rien abouti et tout les
gens savaient cela comme Saint-potin disait «quant
à celui-là, il a de la chance d'avoir épousé sa femme ». Ceci
affermi aussi que Mme Forestier se servi des hommes pour réussir.
Forestier est
un personnage important, comme c’est lui qui a aidé Duroy de pénétrer le
domaine de journalisme et lui donne la position du reporteur.
Au début du
roman, Forestier était présenté comme un homme costaud, fier de soi, et digne.
Mais tout au long du roman, ses limites apparaissent successivement : - un
homme très angoisse de sa santé et qui la compare au papier mâché « j’ai
une poitrine de papier mâché, je tousse 6 mois sur douze ». –un
caractère fragile qui s’est capitulé et n’a pas lutté contre la maladie. –un
homme dont le peur de la mort le chaparde complètement. Il essaye d’agir contre
cette dernière par des paroles désespérantes ; dont lesquelles il disait qu’il ne voulait pas mourir « je
ne veux pas mourir…oh !sauve moi… ». –un journaliste qui doit tout sa réussite à sa femme qui l’aidait
dans la rédaction.
L’ambigüité
définit Charles Forestier, un homme dont lequel nous trouvons la force et la contestation, l’optimisme el le
pessimisme, l’ébriété de la réussite et l’agonie. Ce caractère n’est qu’un
produit d’un mélange de mauvaises habitudes rassemblées dans un seul journal où nous trouvons un
ensemble des idées qui doit satisfaire aux différents secteurs de la
société.
*M. Walter:
M. Walter
« petit gros monsieur, court et rond »[4]est
un juif méridionale, possédant une
fortune gigantesque « député financier, homme d’argent et d’affaires,
directeur de la vie française »[5].
Les membres de sa famille sont sa femme Mme Walter et sa fille Suzanne. Il
ne se différencie pas beaucoup de Georges Duroy, c’est un homme malin qui peut
tout faire pour s’enrichir et comme Saint-potin disait : « il roule
tout le monde»
Son
journal « …officieux, catholique, libérale, républicain, orléaniste… »[6]n’était
pas crée pour présenter l’information aux lecteurs, mais plutôt pour supporter
sa fortune; il « n’a été fondé que pour soutenir ses opérations de
bourse et ses entreprises de tout sortes » «la vie française avait gagné
une importance considérable à ses attaches connus avec le pouvoir »[7].
Un des moyens qu’il a utilisé pour accroitre sa fortune était l’escroquerie
et tout le monde le savait « Quant à Walter, personne dans Paris
n’ignorait qu’il avait fait coup double et encaisse de trente à
quarante millions sur l’emprunt, et de huit à dix millions sur des
mines de cuivre et de fer, ainsi que sur d’immenses terrains achetés pour rien avant la
conquête et revendus le lendemain de l’occupation française à des compagnies de
colonisation. »[8]
Ce patron , ne s’intéressait qu’au futur et aux positions
qui l’attendent « c’est un homme d’avenir. Il sera député et
ministre »
Au cours du roman, il devenait de plus en plus puissant
« Il était devenu, en quelques jours, un
des maîtres du monde, un de ces financiers omnipotents, plus forts que des
rois ». Par l’affaire du Maroc, d’après laquelle il a gagné des
milliards, et suite à son achat des peintures les plus chers et les plus célèbres :
il n’est plus resté M. Walter le juif, ni le patron d’une banque louche, ni
d’un journal suspect, ni député soupçonné de tripotage véreux. Mais plutôt, il
est devenu « Monsieur Walter, le riche israélite »[9]
*Laroche Mathieu :
Exactement comme walter, il est un exemple de Duroy
qui donnait beaucoup d’importance aux puissances financières. Au début, Laroche
Mathieu était présenté comme un ambassadeur ; et personne n’en doutait.
C’était une suggestion de la part de Mme de Marelle à Madeleine, d’avoir une
relation avec un député qu’elle pourrait épouser après la mort de Forestier :
c’était M. Laroche.
Il est présenté comme étant un être adroit ; mais
pour Norbert de Varenne, il voyait que « tous ces gens là sont des
médiocres parce qu’ils ont l’esprit entre deux murs et la politique ».
Dans son livre, Maupassant a présenté une image
carnavalesque de ce parlementaire en disant que c’est un « homme
politique à plusieurs faces, sans convictions, sans grand moyens, de nature
douteuse »
*Norbert de Varenne :
Vieux poète, un deuxième forestier en ce qui concerne l’agonie. Tout
au long de l’histoire, il transmettrait son obsession de la mort.
·
A savoir que Guy de Maupassant soufrait
lui-même du cauchemar de la mort.
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